La situation en République Démocratique du Congo (RDC) reste critique. Les députés et sénateurs d’Ensemble pour la République, le parti de Moïse Katumbi, ont exigé dans une déclaration, la libération immédiate et sans condition des prisonniers politiques tels que Salomon Kalonda Idi Della, Mike Mukebayi, et Lens Omelonga. Cette demande s’accompagne de l’arrêt des attitudes dictatoriales du régime en place et de la fin de la corruption et du trafic d’influence.
Les députés et sénateurs d’Ensemble pour la République ont également souligné la présence des armées étrangères sur le territoire national sans aucun résultat probant. Ils demandent donc la clarification de cette présence et la tenue d’élections libres, transparentes, inclusives et équitables dans les délais constitutionnels.
Cette déclaration a été suivie d’un appel à la population congolaise à être vigilante et à ne pas céder à la peur face à la dérive dictatoriale. Les citoyens sont également appelés à se mobiliser massivement pour défendre la démocratie républicaine, et en particulier l’organisation d’élections libres, démocratiques, transparentes, crédibles et inclusives.
Félix Tshisekedi et son régime sont tenus pour responsable de la situation catastrophique dans laquelle se trouve le pays. Les députés et sénateurs d’Ensemble pour la République appellent donc la communauté internationale à condamner et sanctionner toutes les violations récurrentes des droits et libertés fondamentaux des citoyens.
La situation en RDC reste donc préoccupante et les exigences des députés et sénateurs d’Ensemble pour la République doivent être prises en compte.