La RDC en pleine stabilité économique : un excédent budgétaire de 18,28 millions de dollars US annoncé pour 2023.

La conjoncture économique de la République démocratique du Congo est stable, selon la note de conjoncture économique du 28 avril au 5 mai 2023. Le taux de change de la monnaie congolaise reste fixé à 2,345 CDF pour un dollar américain sur le marché parallèle et à 2,298,83 CDF pour un dollar américain dans les grandes villes des provinces. Bien que le franc congolais ait connu une baisse de 1,1 % en moyenne hebdomadaire de janvier à février, le taux de change est resté relativement stable en mars et avril 2023.

Le gouvernement congolais a également annoncé un excédent de 18,28 millions de dollars US pour le budget en devises, avec des recettes de 147,98 millions de dollars US et des dépenses de 129,69 millions de dollars US. Les réserves de devises se sont établies à 4,2 milliards de dollars US au 4 mai 2023, ce qui représente une couverture d’importations de 2,2 mois pour le pays.

En outre, le gouvernement congolais a rétrocédé plus de 370 millions de dollars US aux provinces pour améliorer les conditions de vie des populations, et le président Félix Tshisekedi s’est rendu à la plus grande mine à ciel ouvert du monde pour réorganiser la filière diamant du pays. Le président a également boosté les relations commerciales entre la RDC et le Botswana lors d’une récente visite officielle.

Cependant, le pays ne se limite pas à des nouvelles économiques. Il y a une crise humanitaire en cours en RDC, pour laquelle une mobilisation urgente est nécessaire pour aider les populations affectées. Il y a également eu des tensions politiques, telles que la destitution d’une gouverneure, qui pourraient potentiellement mener le pays vers une crise à éviter.

Enfin, pour ceux qui cherchent à en savoir plus sur la RDC, il y a plusieurs articles intéressants disponibles sur le blog de Fatshimetrie.org, notamment sur les Jeux de la Francophonie 2023, l’action d’IPAS pour améliorer la santé sexuelle et reproductive des femmes déplacées, et la compétence universelle de la justice française pour juger les crimes de guerre et contre l’humanité commis à l’étranger.