Les populations de la République Démocratique du Congo continuent de subir les conséquences des catastrophes naturelles. Après la pluie torrentielle qui a causé plus de 400 morts et de milliers de disparus à Kalehe, l’éboulement des terres dans le site de Bisunzu et celui de Katholo, territoire de Lubero, ont causé le décès de sept personnes englouties sous les décombres. Selon la société civile locale, ce drame a eu lieu lors d’une forte pluie qui a surpris tous les villageois. Le pasteur de la paroisse CBCA Katholo, très attristé par cette nouvelle, témoigne de la perte de membres de sa communauté chrétienne.
Ces événements tragiques mettent en lumière la vulnérabilité des populations congolaises face aux changements climatiques et aux aléas de la nature. Les autorités congolaises doivent prendre en considération ces drames et réfléchir à une meilleure structuration de leur plan d’urgence pour mieux accompagner et protéger les populations.
Ces catastrophes naturelles continuent de meurtrir les provinces de l’est de la RDC. Le gouvernement doit élaborer une stratégie d’adaptation aux changements climatiques pour mieux protéger la population et éviter les pertes en vies humaines. Il est également indispensable de mettre en place une politique de prévention et de gestion des risques naturels en tenant compte des particularités de chaque région.
Le réchauffement climatique est un sujet crucial qui doit être pris en compte lors des décisions gouvernementales. Il est temps de multiplier les efforts pour enrayer les effets néfastes de ce phénomène et protéger l’avenir des populations congolaises.