Des milliers de manifestants sont descendus dans les rues du lac de Goma pour protester contre l’occupation policière de l’autoroute M23

Le calme revient à Goma le mercredi 18 janvier, après que la police et les troupes sud-soudanaises ont protesté contre la déclaration publiée à l’Est

Le président Tshisekedi a fait une telle annonce mardi. Le calme est revenu à Goma le mercredi 18 janvier, après que la police et les troupes sud-soudanaises ont protesté contre l’annonce de l’arrivée de la communauté est-africaine. L’histoire continue. Lorsque les manifestants se sont dispersés dans le centre-ville, le chef de la police leur a ordonné de monter dans des jeeps, mais ils ont fui par solidarité. La police a décidé de nous suivre. Nous devons prendre soin de nous. Ils rentrent chez eux ou combattent l’ennemi. La circulation n’est plus bloquée et les activités sociales et économiques reprennent. Le Soudan du Sud ne nous donnera rien. Il n’y avait pas de batailles dans ou autour de la ville. EAC n’a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire. Des groupes de la société civile à Goma se plaignent du retard dans le retrait du mouvement M23. Après qu’aucun mouvement des rebelles vers Bwito n’ait été observé, leur position a été renforcée. Le chef de la police a nié que quiconque ait été détenu. Les dirigeants locaux ont convenu d’un cessez-le-feu en novembre et les groupes prévoient de revenir sur les positions qu’ils ont prises l’année dernière. Nous avons pleinement confiance en la police.

La police a utilisé des gaz lacrymogènes et des coups de semonce pour disperser les manifestants dans le centre-ville et près du palais présidentiel.

Des centaines de personnes ont manifesté, brandissant des pancartes et scandant des slogans contre l’utilisation de la Communauté de l’Afrique de l’Est pour réprimer les manifestations. Lorsque nous avons protesté, la police nous a rapidement dispersés. Plusieurs manifestants ont été arrêtés et au moins trois journalistes ont été blessés alors qu’ils couvraient les manifestations. La police a tiré des gaz lacrymogènes et des coups de semonce pour disperser les manifestations dans le centre-ville et à la résidence présidentielle. Les manifestations ont eu lieu en juillet après des protestations contre l’incapacité des casques bleus de l’ONU à protéger les civils. Des milliers de manifestants sont descendus dans les rues de la ville pour protester contre l’occupation policière de l’autoroute M23, malgré l’interdiction de manifester la veille. Des milliers de personnes ont été arrêtées, dont trois journalistes, alors que la police tirait des gaz lacrymogènes sur les manifestants.

Selon le président de la République démocratique du Congo, les rebelles du M23 doivent quitter le territoire d’ici le 15 janvier

Les rebelles du M23 doivent quitter le territoire avant le 15 janvier. Les manifestants ont déclaré qu’ils voulaient que les troupes quittent la ville et attaquent les positions du M23. Les critiques disent que le M23 a rompu le pacte et s’est emparé de territoires ailleurs pour compenser ce qu’ils considèrent comme une activité cérémonielle. Le M23 accuse les autorités de rompre le contrat.Selon le président de la République démocratique du Congo, la date limite est le 15 janvier.

Les habitants de Kiwanja et de Nyamilima affirment avoir été témoins d’actions rebelles

Certains habitants de Kiwanja et de Nyamilima ont confirmé avoir observé des activités rebelles. Le cessez-le-feu avec le Rwanda a déclenché des protestations. Selon le Rwanda, ce n’est pas vrai. Jacques Sinzaera du mouvement Amka Chongo a déclaré que de nouvelles mesures avaient été prises pour vaincre l’armée. La police a utilisé des gaz lacrymogènes pour disperser des manifestants dans l’est de la République démocratique du Congo. Des experts de l’ONU et des puissances occidentales ont accusé le conflit d’avoir été déclenché par le soutien des rebelles rwandais. Territoire de Nyiragongo. La récente attaque contre le M23 a déplacé au moins 450 000 personnes et déclenché une crise diplomatique entre les deux pays.