Bukanga-Lonzo: Il n’y a aucune preuve que des voleurs aient volé de l’argent du projet.

L’avocat de Matata déclare que l’affaire est close.

L’affaire est close. L’avocat de Matata a déclaré que les procureurs pourraient essayer de transférer l’affaire devant un autre tribunal, mais considérer l’affaire comme close.

La Cour suprême de la RDC déclare que Matata Ponyo n’a pas le droit d’être juger

Matata Poyo estime que violer la constitution et les lois du pays par la voie judiciaire est devenu inacceptable. Selon l’avocat de Matata, il y a un vide juridique. L’inspecteur général du Trésor a déclaré que le projet avait échoué et que Matata Ponyo était l’auteur et le responsable de l’échec. La Cour suprême de la République démocratique du Congo a statué que Matata Ponyo n’a pas le droit d’être jugé pour des crimes commis dans l’exercice de ses fonctions. Matata Poñyo a exhorté le président de la République à nommer un juge à la Cour suprême pour mettre fin à « l’injustice flagrante » qui, selon lui, est la cause des victimes et pour garantir l’équité et la justice pour les personnes à travers le pays.

La décision met également en relation les associés de Matata, dont un ancien fonctionnaire du gouvernement, et le chef d’une entreprise en Afrique du Sud. Matata Ponyo a déclaré qu’il s’agissait d’une « infraction politique grave pouvant équivaloir à un parjure ». Il a dit qu’il n’avait pas le droit.

Matata affirme qu’il est une victime parce que le président de la République démocratique du Congo a refusé de se présenter à la présidence.

Augustin Matata Pogno adopte le double standard judiciaire et critique les juges pour l’utilisation excessive d’outils.


Des représentants de la société sud-africaine ont reçu l’autorisation de la Banque centrale du Congo de financer intégralement le projet. Augustin Matata Ponyo déplore le double standard de la justice et critique ses institutions excessives. Dans le cas de la justice et de la politique nationales, la protection du pouvoir ne peut jamais être trouvée. Cela n’a rien à voir avec la loi. La Cour constitutionnelle a rendu son deuxième verdict le 18 novembre 2022, lorsque la justice est venue dans le coin d’Augustin Mato Taponio. L’ancien Premier ministre a déclaré avoir découvert deux inventions dans le domaine de la justice politique, dont l’une a été inventée à l’époque du Zaire. Le ministère public et la Cour constitutionnelle veulent réexaminer les affaires lors de l’audition des accusations portées contre le président et le Premier ministre. La Cour constitutionnelle de la République démocratique du Congo a rejeté l’affaire au motif qu’elle n’avait rien à voir avec l’ancien Premier ministre. Le deuxième arrêt de la Cour constitutionnelle du 18 novembre 2022 dans l’affaire Bukanga-Lonzo n’est pas définitif. Il s’agit d’une décision de justice.

Ce projet est considéré comme l’un des plus importants investissements agricoles en Afrique pour lutter contre l’insécurité alimentaire chronique.


Bukanga-lonzo était censé être l’un des plus importants investissements dans l’agriculture africaine pour lutter contre l’insécurité alimentaire chronique. Matata avait demandé à l’IGF d’enquêter sur l’ensemble de la gestion du BCECO de 2003 à 2016, mais n’a rien trouvé. En 2017, les entreprises nationales ont cessé de produire sans recevoir de salaires.

Pendant près de deux ans, j’ai été politiquement persécuté pour avoir refusé d’adhérer à l’union sacrée.


Aux élections législatives de décembre 2023, il s’est présenté comme candidat à la présidence de la République et a refusé d’adhérer à la Sainte-Alliance, faisant de lui la cible d’une chasse aux sorcières pendant près de deux ans. Est-ce un péché de ne pas adhérer à l’union sacrée ? Même si le projet a occasionné des pertes de plus de 200 millions de dollars à l’état, Matata persiste et affirme que ce n’est pas de sa responsabilité et qu’il sérait plutôt victime du fait de son refus d’adhérer à l’union sacrée.