Martin Fayulu : Le vote des opposants à l’ancien régime est irréversible
Il a déclaré que la première étape de la mise en œuvre de la stratégie frauduleuse au niveau national consiste à augmenter le nombre d’électeurs dans les provinces les moins troublées. Comment les demandes de sécurité, de meilleurs services, de plus grandes opportunités économiques et de moins de corruption peuvent-elles être exprimées en termes de fourniture accrue de ces biens publics, et qu’est-ce que cela signifie pour la manière dont les politiques sont mises en œuvre ? Les gens ont voté contre l’ancien régime. Il n’y a pas de retour en arrière.
Je crois que les dirigeants du pays élimineront l’influence des intérêts obscurs et travailleront dans l’intérêt du peuple. Il a demandé au public de s’inscrire pour voter. J’essaie d’utiliser l’autorité morale qu’il donne de plusieurs façons et de les laisser jouer un rôle constructif. Martin Fayulu soutiens le réexamen des mandats des Nations Unies, en les appliquant aux réalités du terrain et en les rendant plus efficaces. Il n’y aura aucun progrès dans le domaine de la sécurité tant que cette situation ne sera pas résolue.
Le pays est confronté à des défis tels que des conflits en cours, d’énormes déficits budgétaires, des épidémies pandémiques et des crises sanitaires. Les médecins des mouvements de jeunesse comme Lucha, Filimbi, etc. risquent souvent leur vie pour informer et éduquer les gens sur des questions importantes.
Michelle Gavin, chercheuse principale du CFR Afrique, a interviewé Martin Fayulu sur la relation entre la confiance dans le gouvernement, la crise actuelle du COVID-19, la légitimité publique et l’avenir du pays. Le chef du groupe, Martin Fayulu, a souligné que cela était impossible en raison du manque de sécurité dans la région. Les coordonnateurs du plaidoyer ont reproché aux autres bureaux délégués de ne pas avoir suffisamment d’électeurs. Il ne peut y avoir de paix sans vérité et justice. Nous ne pouvons pas reconstruire le pays. La communication est confuse et le montant de la subvention gouvernementale est un problème. Il était le chef de la coalition de l’opposition lorsqu’il s’est présenté à la présidence.
Le manque de confiance est dû au fait que les autorités de la RDC sont illégales. Cela crée un environnement où les militants non gouvernementaux doivent intervenir pour combler le vide. Les perspectives et les intérêts africains ne sont souvent pas pris en compte dans le dialogue sur la politique étrangère à l’échelle mondiale. Les opinions d’experts doivent être prises en compte lors de l’examen d’options politiques globales.
Martin Fayulu pense que le changement ne se produit pas dans la zone de confort. Une armée véritablement souveraine sous le commandement des Nations Unies contribuerait grandement à dissuader les conflits à l’Est.
Il a travaillé avec une ONG appelée Caritas International pour mettre en place un fonds de secours national pour soutenir le peuple pendant la pandémie et il sait qu’il y a d’autres ONG qui travaillent dur pour fournir des masques et d’autres fournitures. Je vois un pays tenir ses élus responsables lorsqu’ils ne font pas leur devoir.
La République démocratique du Congo est un pays de 84 millions d’habitants avec un gouvernement faible.
En parlant de sécurité nationale, il est important de comprendre les raisons de la récente instabilité en République démocratique du Congo. il dit se battre pour les intérêts de la République démocratique du Congo. Martin Fayulu est catégorique, la République démocratique du Congo est un pays de 84 millions d’habitants, riche en ressources naturelles et doté d’un gouvernement faible.
Il rassure que si la République démocratique du Congo est dirigée par lui Martin Fayulu. La République démocratique du Congo tiendra sa promesse de croissance. Le résultat de ses efforts est un processus démocratique libre et transparent dans lequel le peuple de la RDC peut choisir ses dirigeants sans pression. Il considère qu’il est de son devoir moral de maintenir la confiance du peuple de la République démocratique du Congo. Lors de l’élection présidentielle dernière, des millions de personnes dans ce pays, la République démocratique du Congo, ont voté pour lui, et il déclare avoir obtenu le plus de voix que tout autre candidat. D’ici à 2040, il voit une République démocratique du Congo où les lois, des institutions fortes et l’accès aux biens publics de base sont la norme. Malgré les efforts de certains politiciens de l’ombre, une démocratie forte verra bien le jour en RDC.